Abstract
Expresie a unei frivolităţi bine temperate, moda îşi distribuie energiile între corp, identitate, obiect(e), artă(e), cod(uri), industrii ale aparenţelor, sisteme de valori. Literatura secolului al XIX-lea nu rămâne impasibilă în faţa fenomenului modei iar autorii francezi şi alţii se străduiesc fie să teoretizeze o mişcare de civilizaţie greu de cuprins şi să înţeleagă, fie să-şi îmbrace/dezbrace personajele spre a le face mai credibile şi mai expresive. Câteva nume jalonează – teoretic vorbind – acest demers : Baudelaire, Balzac, Gautier. De aceea studiul despre construcţia identitară de-a lungul vestimentaţiei va avea un corpus literar – romanul Bel-ami de Guy de Maupassant.
Abstract
Expression d’une frivolité bien tempérée, la mode partage ses énergies entre corps, identité, objet(s), art(s), code(s), industries des apparences, systèmes de valeurs. L’histoire de la notion est longue (1642, date de naissance du mot, selon certains chercheurs). La littérature du XIXe siècle ne reste pas impassible au phénomène de la mode et les auteurs français et autres s’évertuent soit à théoriser un mouvement de civilisation difficile à saisir et à comprendre entièrement, soit à habiller / déshabiller leurs personnages, afin de les rendre plus crédibles et plus expressifs. Quelques noms jalonnent – théoriquement – la démarche : Baudelaire, Balzac, Gautier. Certes, la littérature ne détient pas l’exclusivité de cette dissémination, mais elle reste la voie la plus agréable et la plus accessible au public. C’est pourquoi l étude sur la construction identitaire à travers les vêtements aura un corpus littéraire – le roman Bel-ami de Guy de Maupassant.