Abstract
Partagé entre deux cultures, deux langues, deux pays, ayant subi un processus d’acculturation dans son enfance, Eugène Ionesco adopte à l’âge mûr le français comme langue d’écriture et opère un choix, qui se veut être définitif, pour la France et le français. Pourtant, son identité roumaine, même s’il l’a constamment reniée, il n’a pas pu l’annuler complètement, il y a retourné somme toute, vers la fin de sa vie.