Abstract
La peau d’Élisa (1998) de l’auteure québécoise contemporaine Carole Fréchette présente une avancée intéressante dans la problématique du rapport existant entre l’acteur et le spectateur dans le cadre du jeu théâtral. Nous nous proposons d’analyser ce rapport entre la scène et la salle en posant des questions fondamentales sur les limites et le degré de l’intégration du spectateur dans l’espace scénique : Quelle est la place du spectateur dans la représentation ? Comment le spectateur est-il introduit dans le spectacle théâtral ? Quels sont ses limites et son degré d’intégration dans l’espace scénique ?